Vendredi ou la vie sauvage - Résumé

Robinson se dirigeait vers l’Amérique du Sud à bord de la Virginie, lorsque vers la fin de l’après-midi du 29 septembre 1759, la Virginie heurta un banc de sable. Robinson, par le choc tomba dans les pommes. À son réveil, il était échoué sur une île. Comme l’île était déserte, il la nomma Spéranza. Il s’aventura dans l’île, parti chercher des ressources dans l’épave de la Virginie et commença à construire une embarcation qu’il baptisa l’Évasion.

Ne pouvant déplacer son embarcation de la falaise à la plage, Robinson céda à la paraisse et se baigna « comme les cochons dans la boue ». Un jour il vit un bateau arriver mais le bateau ne sembla pas le voir donc il nagea vers lui et vit une femme le regarder avec de la peine, son visage lui était familier. Et il se rappela où il avait vu cette femme c’était sa sœur, Lucy, morte depuis plusieurs années. Cette illusion était donc un signe, il ne devait plus jamais céder à la paresse. Il se mit donc à travailler dur : il se construisit une maison, planta du blé et décida de mettre des règles sur cette île.

Un jour des Indiens vinrent en brûler un autre sur l’île de Robinson. Ce « spécimen » se leva d’un bon et se mit à courir poursuivit par deux du clan. Robinson en tua un avec son fusil. L’autre s’enfuya pris d’une panique soudaine. L’indien que Robinson avait sauvé se prosterna devant lui, et devint son serviteur. Robinson le nomma Vendredi.

Vendredi découvrit pipe en polystyrène du capitaine de la Virginie, et commença à fumer en cachette. Robinson qui découvrit que vendredi fumait voulu punir son serviteur et l’interpella. Vendredi qui fumait dans la dans la grotte, caché par les tonneaux de poudre, cacha la pipe sous un tonneau et se dirigea vers Robinson, quand tout à coup, la grotte explosa en raison de la pipe laissée allumée. Elle détruisit aussi la maison de Robinson. Vendredi montra alors à Robinson comment vivre autrement.

Un jour un bateau arriva. Vendredi, séduit par l’accueil de l’équipage, monta à bord. Robinson, quand à lui, choqué par la violence de la civilisation, resta sur l’île avec le mousse du bateau, qui avait décidé de fuir la violence de l’équipage.

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Tristan

Vendredi ou la vie sauvage, magnifique roman de Michel Tournier